Un air sévère et sombre, des lèvres pincées et un regard assuré. Kalahan est, à première vue, une personne que l’on pourrait facilement penser méprisant voir un brun condescendant. Et pourtant, Kal’ bien que d’une nature solitaire et quelque peu renfermé est tout sauf quelqu’un de désagréable, bien au contraire. Il faut juste accepter de lui donner du temps et, surtout, de lui prouver votre valeur et votre sympathie.
Car Kal’ avant de vous montrer toute sa bonté et sa générosité se cachera derrière un mur de froideur. Exigeant, il est adepte de l’adage : « mieux vaut être seul que mal accompagné. » Il choisit donc soigneusement son entourage et aura, la plupart du temps, bien du mal à se lier avec quelqu’un. Tempétueux et caractériel, on ne peut en revanche, lui enlever sa sincérité. Car Kal’ est quelqu’un de vrai qui ne cherchera jamais à cacher ce qu’il est quand bien même certaines facettes de sa personnalité déplaisent à certains.

Franc et sincère, Kal’ est bourré de valeurs qu’il cherche à appliquer tant à son rapport aux autres que dans sa vie au quotidien. Possédant un grand cœur, Kal’ est aussi honnête que loyal. Lorsqu’il donne sa parole ou se lie avec quelqu’un c’est à la vie à la mort et ce, peut importe les galères qui pourraient se dresser sur sa route.
Patient, doux et compréhensif, Kal est capable d’entendre bien des choses et tient à ne jamais juger hâtivement une personne. En revanche, il ne saurait accepter la trahison ou le mensonge. Pour lui, les bases d’une bonne relation doivent reposer sur la sincérité et la confiance et ce, quand bien même certaines choses puissent être difficile à dire ou à entendre, qu’importe tout cela, une fois encore, Kal est en mesure de comprendre bien des choses tant qu’il n’y a aucun faux semblant, un moyen pour lui de se préserver des mauvaises surprises et des déceptions.

Musicien à ses heures perdues, Kalahan peut passer des heures voir des journées entières seul à composer et écrire de nouvelles chansons.
Autodidacte et débrouillard, Kal’ ne s’encombre pas de choses qu’il estime futile.
Aimant la simplicité certains diraient qu’il vit comme un sauvageon. En effet, Kal’ préfère largement passer ses journées à faire ce qu’il veut plutôt qu’à suivre le rythme ennuyant du fameux « métro-boulot-dodo. » Adepte du carpe diem, il travaille que pour remplir des besoins primaires en jouant dans les bars de l’île ou en remplissant le rôle de serveur. Le reste du temps il le passe à composer dans son vieux bus réaménagé ou a errer en pleine nature en compagnie de son jeune chien plus semblable à un loup qu'il recueillit peu de temps après son arrivée sur l'île à la suite d'une balade au coeur de la forêt de Heavenly.

Ainsi, ceux qui ne le connaissent pas ou peu penseraient certainement qu’il n’a rien de bien passionnant voir même qu’il est un peu coincé. Cependant, Kalahan sous son masque sévère se révèle être une personne aussi mature que complètement gamin. Une fois en confiance, Kal’ est le premier à faire l’idiot et à tenter mille et une expérience cependant, il n’ira jamais dans l’excès. Kal cherche à garder un certain équilibre et sait profiter pleinement de sa vie sans jamais tomber dans l’excès ou la stupidité. Pour le reste, à vous de découvrir ce qu’il aura à offrir…

Pour ce qui est de son physique, nul va sans dire que Kal’ est loin d’être désagréable à regarder. Fort de ses 1m87 Kal’ présente une musculature avantageuse et finement développée sans pour autant tomber dans l’excès signe d’un certain équilibre de vie.
Son visage carré, ses mâchoires marquées et sa barbe de trois jours lui confère un aspect sévère et autoritaire aussitôt atténué par la présence de ses faussettes enfantines lorsqu’il sourit.

Son regard est noir, profond et scrutateur aussi déterminé qu’insondable jusqu’à l’instant ou un franc sourire vient animer son visage, il s’illumine alors et devient bien plus chaleureux qu’au premier abord.
Kalahan porte les cheveux long, d’un noir de jais et il a depuis bien longtemps abandonné l’idée de les coiffer si bien que ses boucles folles demeurent inapprivoisées lui donnant un délicieux aspect sauvage et débonnaire.

Ne prêtant que peu d’importance à son look Kal’ s’habille le plus simplement du monde : jean, tee-shirt ou petit pull lorsqu’il fait froid, le seul vêtement auquel il tient particulièrement est son perfecto noir vieux de 10 ans. Pour le reste, il en a clairement rien à fiche.

Kal’ naquit à Londres dans une riche famille établit dans le capital depuis des générations et des générations. Fils d’un père ingénieur et d’une mère psychiatre, Kalahan a été élevé dans la prospérité et n’a jamais eu à se plaindre de mésaventures notoires.
Destiné à suivre le chemin de son père, Kal’ ne sait pour autant jamais découvert un amour pour les grandes études et ne partageaient en aucun cas les mêmes valeurs du travail de son paternel ou de sa mère. Pour lui, la valeur d’un homme ne se basait pas sur la richesse de son portefeuille ni à la détermination qu’il pouvait mettre dans son travail aussi, Kal’ se sentait comme étant le vilain petit canard de la famille.
Fils ainé de cette dernière, il se devait pourtant de respecter les lois familiales aussi, passa-t-il le plus clair de son temps à jouer le jeu que ses parents tenaient tant à lui faire tenir.

Le deal était simple, si Kal’ se montrait rigoureux et exigeant dans ses études, il pourrait faire ce que bon lui semblait en dehors du corps familiale.
Le jeune homme présentait ainsi deux visages : pour sa famille, il était le poli, responsable et exigeant, ramenait de bonnes notes et s’occupait de ses deux petites sœurs lorsque ses parents demeuraient trop occupés par leur travail respectif mais en dehors…
En dehors Kal’ était un bout en train. Un rêveur qui, à peine âgé de 13 ans trainait déjà dans les coins les moins fréquentables de Londres. N’ayant jamais fait son âge, Kal’ connut sa première ivresse à 14 ans et sa première fille à 15. Mature pour son âge il n’en demeurait pas moins un gamin étouffé par les responsabilités infligées par ses parents désireux de repousser les limites : toutes ses limites.

C’est ainsi qu’il fit la connaissance de Jon. Jeune homme de 22 ans, dangereusement sur de lui et surtout, fondateur d’un groupe de rock enragé. Avec lui, Kal’ découvrit la musique, la joie de passer des nuits à animer la foule Londonienne et à user du fameux charme ténébreux du musicien. Kal’ aimait ça, il aimait la guitare qui très vite devint sa partenaire la plus intime. Il lui fut aisé d’apprendre à jouer, aisé d’apprendre à chanter, aisé de se laisser emporter par la musique et ce rythme effréné qui manqua de l’engloutir.
Ainsi, à 16 a,s; Kal’ devint étudiant bon sous tout rapport le jour et musicos déchainé la nuit. Il connut des centaines d’ivresses et, très vite, son premier rail de coc qui s’imposa comme une évidence tant le rythme qu’il s’imposait était tout simplement invivable pour le commun des mortels.

Le reste… Disons que Kal’ n’a que peu de souvenirs de la période qui s’écoula entre ses 16 et ses 18 ans. Ces deux années ne lui reviennent quand rêves, des réminiscences où il se rappelle d’un corps dans lequel il s’oublia, d’une copie sur lequel il s’endormit, d’une claque que son père lui asséna.
Car on ne peut indéfiniment gardé le contrôle lorsque l’on use et qu’on abuse de la cocaïne. Celle-ci vous détruit, vous ronge puis, peu à peu, commande votre vie tant son apport est essentiel pour vous permettre de tenir debout.
A cette époque, Kal’ perdait pied, il ne dormait plus, ne mangeait plus et tout prit fin le jour où il s’écroula en plein concert.

C’était un jour d’hiver, un jour de neige. Kal’ se souvient parfaitement des milles et un flocon tombant d’un ciel blanc et opaque. Il se souvient également du visage inquiet de sa mère et du regard sombre de son père. Elle s’en voulait, il le détestait et cette overdose marqua la fin d’une relation de confiance et le début de grandes décisions.
Kal’ avait tout perdu, son énergie, sa volonté, la confiance et le respect de ses parents cependant, lui restait une chose : sa guitare que sa mère avait jugé judicieux de ne pas jeter aux ordures quand bien même son père jugeait la musique responsable de sa débauche.
Les années qui suivirent, Kal les passa à se racheter une conduite sans pour autant nier l’évidence : il n’était pas fait pour la vie que souhaitait lui offrir ses parents. Il ne trouvait aucune saveur à travailler dans l’objectif de devenir ingénieur. Aucun plaisir à l’idée de gagner de l’argent, aucun intérêt à s’entourer de quantité d’objets et « d’amis » aussi hypocrites que menteurs.
Kal’ voulait voyager, il voulait découvrir, apprendre et surtout, ne pas gaspiller sa vie en empruntant la mauvaise route.

Animé par ce désir de liberté Kal’ parvint à convaincre ses parents de le laisser travailler à coté de ses études. Ayant alors à peine 19 ans, il lui restait deux ans pour mettre un maximum d’argent de coté afin de profiter de sa majorité pour quitter le cocon familiale, il n’aurait ainsi, plus rien à devoir à personne.
A 21 ans, Kal annonça qu’il arrêtait ses études et qu’il prenait son envol pour New-York ville qui, dans ses fantasmes, était celle de toutes les réussites. Il n’eut guère besoin de lutter. Bien que ses parents tentèrent de le dissuader de son choix ils ne trouvèrent aucun moyen de le retenir : il avait suffisamment d’argents pour partir et tenir quelques mois là-bas, le temps de trouver un emploi et de prendre un nouveau départ.

La suite fut peuplée de rencontre et de découverte. Kal’ renoua avec la vie nocturne sans pour autant retomber dans les excès de son adolescence. A 24 ans, il s’acheta un vieux combi wolwagen qu’il aménagea afin d’atteindre au mieux son idéal de vie : se satisfaire à lui-même et ne dépendre de personnes. Il voyagea, découvrit les étendues désertiques des Etats-Unis et les richesses infinies de l’Amérique du Sud avant de rencontrer Sully. Jeune femme aussi belle que farouche, voyageuse dans l’âme qui lui fit connaître cette merveilleuse île perdue au milieu de l’Océan et lui donna ainsi, un nouvel objectif : partir à nouveau.
C’est ainsi que Kalahan débarqua il y a deux mois sur cette île tant fantasmé avec pour seul maison, son vieux combi qu’il fit venir en cargo une fois sur l’île. Souhaitant s’établir au cœur du village d’Heavenly et ainsi, de vivre au plus proche de la nature Kal’ a du longuement parlementer avec les habitants de ce dernier avant d’obtenir leur autorisation en proposant à chacun d’eux de se réunir une fois par semaine autour d’un feu afin d’improviser des petits concerts où chacun pourrait à sa guise chanter, danser et jouer de la musique

Prénom ou pseudo : Camille ou LG à votre guise.
Âge : 22 ans
Célébrité choisie : Kit Harington (non je ne suis pas accro à GOT
Mon perso' est un : inventé
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Comment nous as-tu connus ? En surfant sur internet, je me suis ramassée quelques rouleaux dans la gueule et BOUM, me voilà ici.
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